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L'Ombre de Port l'Aube est un passage de l'histoire humaine en Tarsyn correspondant à une crise religieuse et politique localisée à Caeros, plus particulièrement au port est surnommé Port l'Aube (à ne pas confondre avec la ville de [[Port Aube]] à l'est de [[Nelrand]]).
 
L'Ombre de Port l'Aube est un passage de l'histoire humaine en Tarsyn correspondant à une crise religieuse et politique localisée à Caeros, plus particulièrement au port est surnommé Port l'Aube (à ne pas confondre avec la ville de [[Port Aube]] à l'est de [[Nelrand]]).
   
En TS 109, la fin de l'année est marquée par des attentats de plus en plus nombreux contre le culte elfique ancien d'[[Religion d'Athond|Athond]], à la capitale mais aussi dans les régions les moins reculées de Nelrand. On compte parmi ces meurtres la tuerie de Mildrasil (future [[Qor Milith]]), les noyades des Marches Rouges près de [[Neldrasil]] ainsi que plusieurs décimations de villages forestiers de la région. Au total, c'est près de 5 000 meurtres qui sont perpétrés par des extrémistes de l'[[Ainrin]].
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En TS 109, la fin de l'année est marquée par des attentats de plus en plus nombreux contre le culte elfique ancien d'[[Religion d'Athond|Athond]], à la capitale mais aussi dans les régions les moins reculées de Nelrand. On compte parmi ces meurtres la tuerie de Mildrasil (future [[Qor Milith]]), les noyades des Marches Rouges près de [[Neldrasil]] ainsi que plusieurs décimations de villages forestiers de la région. Au total, c'est près de 5 000 meurtres qui sont perpétrés par des extrémistes de l'[[Religion de l'Ainrin|Ainrin]].
   
 
Au fil des années suivantes, la haine religieuse croît dans les rues de Caeros, appuyée par la propagande des prêtres des temples. Si certaines rumeurs commencent à associer l'[[Abal]] aux actes terroristes, aucune preuve ne voit le jour ni aucune forme d'opération de justice. En parallèle, certaines entités comme le conseil du royaume humain ou des ducs des villes des [[Monts d'Orage]] financent les opérations armées de l'Abal par rejet du culte d'Athond et dans l'intérêt économique et politique d'un peuple elfe converti.
 
Au fil des années suivantes, la haine religieuse croît dans les rues de Caeros, appuyée par la propagande des prêtres des temples. Si certaines rumeurs commencent à associer l'[[Abal]] aux actes terroristes, aucune preuve ne voit le jour ni aucune forme d'opération de justice. En parallèle, certaines entités comme le conseil du royaume humain ou des ducs des villes des [[Monts d'Orage]] financent les opérations armées de l'Abal par rejet du culte d'Athond et dans l'intérêt économique et politique d'un peuple elfe converti.

Dernière version du 4 septembre 2017 à 00:40

Caeros est la capitale du Royaume du Don, région historique de la faction humaine. Elle est située sur la rive ouest de l'Éclair, au plus large du fleuve et sur sa plus grande boucle, aux abords de la Plaine d'Ambre. C'est la ville la plus vaste et la plus peuplée de Turrus.

Histoire

Tarsyn

Caeros est la première ville fondée par le royaume humain à sa création en l'an 0 E de la Sécagénèse. Historiquement, les régions occidentales de Turrus n'ont été que peu explorées par la civilisation Néluuvienne, à l'exception de la côte sud, où subsiste par exemple la ville de Kanyos, anciennement Sildrasil. Dans un but de paix, la reine elfe Lindr fait don aux humains des régions de l'ouest, d'où le nom du "Don" (voir l'article sur Le Don pour plus de détails).

Construction

Le choix de sa position a été encouragé par la grande richesse des sols des plaines proches, ainsi que l'atout stratégique du fleuve la bordant. En effet, par la suite Caeros devient le plus grand port militaire et commercial de Turrus, jusqu'à la délocalisation de ses activités à Port d'Ambre. Aussi, les Plaines d'Ambres constituent la plus grande région agricole du continent pour l'im et la dice.

La construction de la cité a été la plus rapide pour une capitale à son époque, car c'est la première à avoir bénéficié de l'utilisation de la magie d'attraction dans sa totalité. Commencés en eridr 0 E, les travaux prennent fin en caedr TS 1, soit un peu plus de deux saisons de durée.

L'Ombre de Port l'Aube

L'Ombre de Port l'Aube est un passage de l'histoire humaine en Tarsyn correspondant à une crise religieuse et politique localisée à Caeros, plus particulièrement au port est surnommé Port l'Aube (à ne pas confondre avec la ville de Port Aube à l'est de Nelrand).

En TS 109, la fin de l'année est marquée par des attentats de plus en plus nombreux contre le culte elfique ancien d'Athond, à la capitale mais aussi dans les régions les moins reculées de Nelrand. On compte parmi ces meurtres la tuerie de Mildrasil (future Qor Milith), les noyades des Marches Rouges près de Neldrasil ainsi que plusieurs décimations de villages forestiers de la région. Au total, c'est près de 5 000 meurtres qui sont perpétrés par des extrémistes de l'Ainrin.

Au fil des années suivantes, la haine religieuse croît dans les rues de Caeros, appuyée par la propagande des prêtres des temples. Si certaines rumeurs commencent à associer l'Abal aux actes terroristes, aucune preuve ne voit le jour ni aucune forme d'opération de justice. En parallèle, certaines entités comme le conseil du royaume humain ou des ducs des villes des Monts d'Orage financent les opérations armées de l'Abal par rejet du culte d'Athond et dans l'intérêt économique et politique d'un peuple elfe converti.

Alors que des actions de représailles ont lieu à Torvim et Ombros (villes frontalières), la propagande occidentale choisit de dépeindre la religion d'Athond comme un culte barbare, violent et sectaire. Ce choix est très efficace car dans une partie considérable de Nelrand (nord-ouest, comprenant la capitale), au fil des années, l'Ainrin devient plus populaire que l'ancien culte néluuvien.

En TS 118, il devient de notoriété publique que les prêtres de l'Ainrin, résidant au temple de l'Aube, le plus grand de la capitale humaine situé au port du même nom, sont la tête des actes sanglants partout en Turrus. Si la couronne a les mains liées par la grande influence religieuse, la régaile coupe le cordon financier et cherche à effacer ses liens avec l'organisation.

Dans l'ombre, à partir de TS 120, alors que l'Adal infiltre complètement le nord de Nelrand par l'appui de la Coalition Naine, une milice se forme en interne de l'armée royale humaine. Au gré d'une attaque d'ampleur le 68 de rundr TS 122 au temple de l'Aube, la milice évince les têtes des opérations et réunit par la force les preuves de leur responsabilité.

La fin de rundr TS 122 voit se régler des tensions très complexes entre Le Don et les Monts d'Orage. Au nord, les ducs nains s'accusent les uns les autres des financements criminels et, si beaucoup sont destitués, une bonne partie immergée du réseau d'appui évite la tempête de procès. À Caeros, la crise est entièrement résolue par le jeune roi Geros qui officialise le statut des membres de la milice par la création d'un corps d'armée spécialisé : le Noirœil. Mais en Nelrand, les dégâts sont faits et le déclin de l'ancien culte d'Athond est amorcé pour de bon.

L'Assemblée de Qor et la fondation de Qor Milith

En TS 51, un congrès rassemblant des chefs des deux factions elfes et naines votent pour la ré-autorisation de la magie au Don, sous la surveillance d'un comité créé pour l'occasion. Une université ouvre à Caeros et l'Archimage Qorus fonde l'Assemblée de Qor, la tête de la recherche magique et scientifique de la faction humaine.

En TS 81, l'Archimage meurt et parait à titre posthume son écrit philosophique "La Poursuite de la Lumière" véhiculant un message de paix et d'unité dans le progrès nélien. Motivés par l'évènement, les groupes de mages de tous les coins de Turrus s'unissent pour fonder la ville-magie de Qor Milith, au sein de l'ancienne cité de Mildrasil. L'importance de Qor Milith devient d'autant plus grande quand, en TS 124, la ville accueille le premier congrès tri-faction de l'histoire, et devient alors la seule ville neutre de Turrus. Si la cité se pare d'un fort symbole de paix, la liberté de la recherche rêvée par Qorus attendra plus tard dans l'histoire comme l'Ainrin se voit accorder tous les droits de contrôle et de répression des travaux magiques.